Les thèmes ou œuvres choisis varient au gré des circonstances ou de la programmation artistique des structures culturelles de la ville :
En 2015, l’atelier fête le centenaire de la naissance du grand Tadeusz Kantor, à travers une création hommage, Les orchestres ne jouent pas pour eux, d’après la célèbre Classe morte et Wielopole Wielopole.
En 2016, une exploration du théâtre choral contemporain aboutit à la création d’Exils, un émouvant montage de textes sur la migration.
En 2017, le CIM vibrait aux rythmes de la musique des Balkans, l’occasion d’adapter Ederlezi, le truculent roman de Velibor Colic dans le spectacle La prochaine fois enterrez-moi avec un violon.
50 ans après mai 68, ce fut L’imagination prend le pouvoir, création musicale et théâtrale percutante et percussive !
Bougre d’Ubu ! En 2019, retour aux classiques : les jeunes s’initient à la pataphysique, et revisitent les aventures du Père Ubu et de la clique de fantoches créés par Alfred Jarry à la fin du XIXe.