Ça va mieux en le disant

Contes traditionnels adaptés par Olivier Noack 

Si, souvent, les contes commencent mal, c’est parce qu’ils finissent bien. Ça s’appelle l’espoir. Si, souvent, les contes finissent bien, c’est parce qu’ils commencent mal. Ça s’appelle le soulagement.

 

Entre l’espoir et le soulagement, il y a le boulot du héros. Celui-là, il est courageux surtout parce qu’il ne se décourage pas. Moi, je préfère les héros anonymes, ceux qui ne payent pas de mine.

 

Je ne raconterai donc pas la chevauchée du général Machin, ni les exploits de l’aventurier Truc, ni la vie exemplaire de Bidule le sauveur de l’humanité ; ce sera plus modeste.

 

Il y aura certainement un ivrogne, une fille courageuse, un mal-fichu, un brave gars. Et il y aura bien sûr des fées. Parce qu’il ne faut pas rêver. Même les héros ont de temps à autre besoin d’un coup de main du destin.

Spectacle tout public à partir de 10 ans

 

De et par Olivier Noack

 

Durée 1h